Petit pèle mêle
La Sardaigne (italien : Sardegna /sarˈdeɲɲa/, sarde : Sardigna) est une île de la mer Méditerranée et une région italienne, qui se trouve à l'ouest de l'Italie continentale, au sud de la Corse, au nord de la Tunisie et de l'Algérie orientale. Son chef-lieu est la ville de Cagliari.
Berlin est redevenue la capitale de l'Allemagne le 3 octobre 1990. Il a cependant fallu un vote9 tendu et très serré au Bundestag, le 20 juin 1991, pour que la décision soit prise de transférer effectivement les institutions de Bonn à Berlin. Le transfert du gouvernement et du chancelier à Berlin a eu lieu en 1999.
Bon de correspondance en papier
L’Indonésie, en forme longue la république d'Indonésie (en indonésien Indonesia et Republik Indonesia) est un pays transcontinental principalement situé en Asie du Sud-Est4. Avec, comptabilisées à ce jour, 13 466 îles, dont 922 habitées, il s'agit du plus grand archipel au monde.
Le département de Maine-et-Loire possède un certain nombre de sites mégalithiques, témoins des premières occupations humaines du territoire. L'apparition des mégalithes en Anjou est sûrement contemporain de l'apparition du mégalithisme dans l'ouest de la France, avec le Dolmen de l'île de Carn, à Ploudalmézeau, érigé vers -3200. L'érection des sites mégalithiques en Anjou s'intègre entre -3200 et -1800 environH 1. Dans le département de Maine-et-Loire, il existe encore 73 menhirs debout, plus 13 dorénavant couchés, ainsi que 42 détruits mais attestés. Pour les dolmens, 50 sont encore relativement en bon état, 19 plus ou moins dégradés, et 21 disparus attestésG 1. Si on y ajoute les éventuels menhirs disparus dont la trace n'est conservée que par toponymie, on arrive aux alentours de 160 menhirs, plaçant le Maine-et-Loire au vingtième rang des départements français pour ce qui est du nombre de menhirs
Vraisemblablement repérée dès le Moyen Âge par les Arabes sous le nom de « Dina Morgabin » (l’île couchant)2, La Réunion n'a été habitée qu'à compter du milieu du xviie siècle, soit environ 150 ans après son apparition sur les portulans des navigateurs portugais. Jusqu'alors connue sous le nom d'île Mascarin, elle devient sous celui d'île Bourbon, une escale de la Compagnie française des Indes orientales sur la route des Indes puis, à partir des années 1710, une véritable colonie pratiquant la culture du café. Devenue une société de plantation, elle passe sous le contrôle direct du roi de France dans les années 1760 avant d'être réaffectée à l'industrie de la canne à sucre au terme des guerres napoléoniennes. Elle est définitivement rebaptisée de son nom actuel et l'esclavage y est aboli en 18483, remplacé jusque dans les années 1930 par la pratique de l'engagisme.
L'expression est due à l'écrivain dijonnais Stéphen Liégeard (1830-1925) et à son livre La Côte d’Azur publié en 18871. Ce Dijonnais, qui avait été avocat, sous-préfet puis député sous le Second Empire, se consacrait à la littérature ; il disposait à Cannes d'une villa où il passait l'hiver. Ayant la Méditerranée sous les yeux, il eut l'idée de créer le nom de « Côte d'Azur » en pensant à son département d'origine, la Côte-d'Or. D’azur est un terme d'héraldique qui signifie « de couleur bleue ». Dans la nouvelle édition de son ouvrage, en 1894, Stéphen Liégeard constata que « le dictionnaire s'est augmenté d'un mot
Le Marais poitevin est une région naturelle de France à cheval entre les départements de Vendée, des Deux-Sèvres et de Charente-Maritime ainsi qu'entre les régions Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire. L'ensemble constitué par le marais poitevin et la baie de l'Aiguillon, relique du golfe des Pictons, s'étend sur environ 100 000 hectares : il s'agit de la deuxième plus grande zone humide de France après la Camargue. Il constitue le parc naturel régional du Marais poitevin, label retrouvé depuis le 9 juin 2014.
Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel, né le 14 septembre 1868 à Dinan et mort le 26 juillet 1925 à Pont-Aven, où il est inhumé, est un auteur-compositeur-interprète français. Il est l'auteur de La Paimpolaise. Mais un soir, dans un célèbre café-concert de Montmartre, Le Chat Noir4, il remplace un chanteur absent et chante quelques-unes de ses œuvres dont La Paimpolaise créée en 1895 au Concert parisien dont la musique sera finalement signée par son ami pianiste Eugène Feautrier (1849-1898)5. Botrel s'est inspiré de l'ouvrage de Pierre Loti Pêcheur d'Islande pour le thème de sa chanson. Ce sera la gloire. Celle-ci reste au répertoire de Félix Mayol jusqu'à sa mort en 1941. On remarquera qu'il y chante « J'aime Paimpol et sa falaise », alors qu'à Paimpol même il n'y a pas de falaise6. En réalité, Botrel ne connaissait pas Paimpol lorsqu'il créa la chanson et n'y viendra qu'une seule fois en 1897 pour le « pardon des Islandais »
Merci à Tortue - Avalon50100 (dans blog) - Françoise (sans blog) - Chantal (sans blog) - Cathy
Mon autre univers Maminou56